[Elisabeth Hardouin-Fugier, professeur d'histoire de l'art]

droits Creative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0740 FIGRP00026 004
technique 1 photographie négative : noir et blanc ; 24 x 36 mm
historique Il n'y a pas que l'homme ! Ces propos, dans la bouche d'un professeur d'histoire de l'Art à l'Université Jean-Moulin (Lyon), peuvent surprendre. Que l'on se rassure, pour Elisabeth Hardouin-Fugier, "l'homme fait partie d'un tout". Cet ensemble, c'est l'environnement, la nature et surtout les animaux. La Ligue de droits de l'animal est l'une de ses nombreuses passions. Du 15 au 21 mai 1989 aura lieu, à Bâle, le "Rassemblement oecuménique pour la Paix et la Justice". Monseigneur Decourtray l'a choisie pour intervenir à propos "des menaces sur l'environnement". A entendre Elisabeth Hardouin-Fugier, le respect de la vie aurait rencontré l'effet pervers dès le XVIe siècle, le siècle des Humanistes. L'exaltation de l'anthropocentrisme aurait eu comme conséquence l'oubli du respect de la création. Cette chrétienne commence l'énumération pitoyable de l'assassinat des animaux par l'homme. "En cinquante ou quatre-vingts ans, l'homme aurait tué autant d'animaux que l'ère des dinosaures en aurait perdu" [...]. Source : "Bêtes à bon Dieu" / Catherine Guinard in Lyon Figaro, 10 mai 1989, p.32.
note à l'exemplaire Ce reportage photographique contient 20 négatifs.

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